Sa floraison tardive (de juillet à octobre) est d’un rose tendre accompagné de nervures rose foncé. Son feuillage est caduc, il peut être semi-persistant selon la rigueur de l’hiver. Ses feuilles sont d’un vert foncé, ce qui souligne l’éclat de ses fleurs. Peu rustique au gel (-5 C), c’est une plante de climat doux qui se plaît particulièrement en exposition ensoleillée.
Bignone au port buissonnant, à accrocher sur son support. Elle est appelée bignone rose pour ses fleurs en trompettes similaires à celles des campsis. Le podranea ricasoliana est originaire d'Afrique. La bignone rose est également surnommée la vigne trompette rose ou encore la liane orchidée. Pour l’anecdote : podranea est l'anagramme de pandorea, qui est une espèce appartenant à la famille des bignoniacées.
Variété plutôt rare, cette bignone reste peu connue des jardiniers. La bignone rose fait partie des variétés de bignones les plus tardives. Sa floraison généreuse et exotique donnent de sublimes fleurs rose pâle sont striées de rose foncé. Ses fleurs en trompettes sont présentes tout l’été et jusqu’à la fin de l’automne (octobre).
Son feuillage découpé est bien caduc, même s’il peut être semi-persistant dans les régions au climat très doux. Elle peut à tout à fait se cultiver dans un bac ou un grand pot dans les autres régions, afin de l’hiverner. Lorsque les conditions sont optimales, cette plante grimpante peut se développer jusqu’à 6m de hauteur et 3m de largeur.
Facile à vivre en matière de sol, elle a toutefois besoin de soleil et de chaleur pour s’épanouir. Naturellement de bonne vigueur, ce podranea a un port buissonnant. La bignone rose doit être accrochée à son support, car elle munie de tiges sarmenteuses. Idéale pour couvrir une pergola ou un mur.